6 peurs que mon art journal m’a permis de surmonterLorsque je reçois des visites à la maison, il arrive que mon art journal (carnet créatif) du moment traîne dans la pièce principale. Il est rarement fermé. Je le laisse ouvert pour être sûre de le voir régulièrement, d’interagir avec lui et de me souvenir qu’il existe et qu’il demande à être rempli. Il a toute sa place dans ma vie et dans ma maison.

Qu’est-ce qu’un art journal ? Il s’agit d’un carnet dans lequel on s’exprime de façon créative avec les outils de notre choix (collages, peinture, dessin, écriture…). C’est une méthode créative accessible à tous, même aux enfants.

Quand j’ai fait ce choix de garder mon art journal visible il y a quelques années, je dois dire que j’avais certaines attentes des autres. J’attendais avec une légère appréhension leurs remarques, j’attendais des « ouaaaaah c’est joli ! qu’est-ce que c’est ?« , comme une validation extérieure de ce que je faisais. Bien sûr je n’avais pas toujours les réactions attendues et la plupart du temps mon art journal causait soit la plus grande indifférence, soit de banales remarques assez détachées.

Pourtant le besoin de continuer cette pratique artistique est toujours resté bien présent et je réalise aujourd’hui qu’après ces 5 années de pratique régulière et d’expérimentations, l’art journaling a réussi à me libérer de beaucoup de peurs qui m’empêchaient d’avancer dans ma vie et dans ma pratique artistique.

6 peurs que mon art journal m’a permis de surmonter1. La peur de mal faire

Quand on débute une pratique artistique, il y a toujours cette peur de se tromper, de ne pas dessiner correctement, de ne pas utiliser tel ou tel medium à son plein potentiel. Cette peur est par ailleurs présente dans nos vies à tous les niveaux : la peur de ne pas être un bon parent, un bon conjoint, une bonne amie… et à force d’avoir peur on n’avance pas vraiment.
Au début je passais des heures à faire des recherches sur google et sur Pinterest pour chercher la meilleure idée, la page la plus belle, celle qui me correspondait le mieux. Et lorsque je trouvais enfin l’idée qui se rapprochait le plus de ce que je voulais, je réalisais que je n’avais pas les compétences pour obtenir le même résultat.
Quand j’ai eu mon 2ème enfant j’ai eu encore moins de temps à disposition. Pour réussir à faire ma page hebdomadaire d’art journal j’ai du renoncer à ces heures de recherche sur Pinterest pour aller directement à l’essentiel :
– prendre 30 minutes,
– ouvrir une page de mon carnet
– aller au bout de la première idée qui me venait à l’esprit.

Renoncer à ces heures de recherche pour aller directement à l’essentiel m’a permis de réellement pratiquer, tester, expérimenter, et c’est vraiment la seule manière d’évoluer quand on commence une nouvelle pratique. Merci à mes enfants car leur présence m’a forcée (et continue de me forcer) à simplifier les choses, à être dans la pratique plutôt que dans la projection du résultat final.

2. La peur du jugement extérieur, du regard des autres

Avez-vous déjà essayé de sortir un carnet de croquis ou un art journal et de commencer à gribouiller dans une salle d’attente ou dans le train ? Sentez-vous le poids de ces regards extérieurs, qui malgré leur bienveillance vous donnent juste envie de vous cacher et de leur dire « Non regardez ailleurs ! Ne vous attendez pas à un chef d’œuvre, je fais juste un essai ! » J’avoue que j’ai été stoppée plus d’une fois par la peur du regard des autres, la peur qu’ils ne trouvent pas ça joli.

Comment me suis-je débarrassée de cette peur ? En me forçant à suivre mon envie de sortir mon carnet encore et encore. La première fois c’était très inconfortable. La 5ème fois ça a commencé à devenir une habitude et la peur s’est dissipée peu à peu, une peur de moins en moins présente à chaque fois que je le sortais en public. Aujourd’hui je peux dessiner ou faire de l’art journaling quasiment n’importe où, sans me préoccuper des autres ni de ce qu’ils pourraient en penser.
Qu’est-ce qui a changé ? J’ai tout simplement arrêté de focaliser mon attention sur les autres. L’avis des autres m’intéresse toujours bien sûr, mais j’en suis détachée et ce n’est pas la première chose à laquelle je pense quand je sors mon art journal.

3. La peur de la page blanche

C’est génial de se dire qu’on va faire une page d’art journal. L’envie est là, on pense à toutes les choses que l’on pourrait faire, l’excitation de créer est bien présente, mais parfois l’enthousiasme retombe très vite quand finalement on se sent bloqués devant sa page blanche au moment de passer à l’action. Par quelle idée commencer ? Est-ce que ça va être joli ?
J’ai testé différentes techniques qui m’ont beaucoup aidée au début (travailler sur un fond coloré, travailler sur une page choisie de façon aléatoire, travailler dans un vieil agenda déjà rempli…), mais ce qui a réellement stoppé cette peur définitivement, c’est lorsque j’ai compris qu’il fallait accepter l’idée de faire mal, accepter l’éventualité de me tromper, accepter que ce ne soit pas aussi joli que j’aurais pensé. En abandonnant cette volonté de perfection, faire une page est devenu de plus en plus facile et la peur de la page blanche m’a peu à peu quittée.

4. La peur du lendemain

Êtes-vous du genre à vouloir tout maîtriser ? Vouloir anticiper tout votre emploi du temps, ne laisser aucune place à la surprise, savoir que vous maîtrisez tout dans votre vie ?

Je ne suis pas particulièrement comme ça mais pour ce qui est de la création en général, j’ai toujours eu une propension naturelle à vouloir anticiper les résultats et c’est ce qui m’a bloquée pendant plusieurs années. Je n’osais même pas apprendre à dessiner parce que tout ce que je faisais ne ressemblait pas à ce que je voulais .

L’approche créative de l’art journaling est très libératrice car elle offre beaucoup de liberté et il n’y a aucune attente. En 5 années de pratique je n’ai jamais pu planifier une seule page. Même quand j’ai essayé j’ai totalement « échoué ». Pourquoi ? Parce qu’il y a :
– ce qu’on a en tête quand on commence,
– ce qu’on voudrait avoir comme résultat et
– ce qu’on obtient réellement comme résultat par rapport au matériel utilisé, à notre façon de faire et à notre maîtrise du medium.

C’est un processus plein de surprises dont je ne me lasse pas et qui m’a permis d’apprendre le « lâcher-prise ». Accepter d’emblée que ma page ne ressemblera pas à ce que je souhaite obtenir et profiter à fond du processus, de ce moment de créativité et de détente en me laissant porter par mes envies.

5. La peur de ne pas avoir de style

La plupart des artistes ont leur style propre, ce petit truc en plus qui fait qu’on peut reconnaître leurs œuvres du premier coup d’œil. Même en art journaling, je peux reconnaître très facilement le travail de certains artistes (allez par exemple sur le blog d’Alisa Burke, bien que l’art journaling ne soit pas sa principale pratique artistique, elle a un style reconnaissable entre mille).

J’ai longtemps été complexée par le fait de ne pas avoir de style particulier, ou du moins de ne pas avoir l’impression d’en avoir un. Mais durant mon année d’arts plastiques à la Sorbonne j’ai réalisé que ce problème existait uniquement dans ma tête, j’ai réalisé que l’art dépasse tout ce type de questionnements. Le plus important ce n’est pas le style, mais plutôt le cœur qu’on met dans ce qu’on crée et pourquoi on le crée.
Par ailleurs, vu qu’en art journaling l’idée est surtout d’explorer sa créativité pour se faire du bien, pour son propre bien-être, la question du style n’a même plus lieu d’être.

6. La peur de me livrer

Je suis naturellement en retrait, assez timide, plutôt introvertie. Montrer mes pages d’art journal sur mon blog a été un combat contre moi-même. Pendant au moins 3 ans j’ai posté des photos de mes pages en me forçant, juste pour respecter l’engagement que j’avais pris en créant le challenge « artjournal et gribouillages », mais pas parce que ça me plaisait de les montrer. Je laissais mon art journal ouvert chez moi pour me rappeler de le remplir et pour pouvoir regarder mes pages avec du recul en passant devant elles, mais au début je le fermais chaque fois que je recevais un invité.
Pourtant, à force de le montrer tout le temps, à force de poster régulièrement des photos, montrer mon travail est devenu naturel et la peur s’est évanouie d’elle-même.

Moi qui n’étais pas du tout à l’aise avec les mots (peur d’être jugée pour ce que j’écris), j’ai commencé peu à peu à écrire des choses personnelles dans mon art journal, sans m’inquiéter de ce que les autres pourraient penser en le lisant. Pour moi c’est un véritable bond en avant car je n’ai jamais tenu de journal intime et l’art journaling m’a séduite justement parce qu’on pouvait s’y exprimer avec autre chose que des mots, ce que j’ai fait pendant plusieurs années.

Cet article est un bon exemple de cette évolution. Ecrire, parler de moi, est un exercice très difficile pour moi. Pourtant j’ai réussi à écrire cet article jusqu’au bout et j’en suis très reconnaissante, je sais que ma pratique régulière de l’art journaling y est pour beaucoup et qu’encore l’année dernière je n’aurais jamais pu partager toutes ces peurs avec vous.

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J’avais envie de partager avec vous ce bilan de ma pratique de l’art journaling. Je réalise que ce petit carnet a pris une grande place sur ce blog et dans ma vie et me fait beaucoup évoluer au quotidien. Même si beaucoup de peurs subsistent, je suis très heureuse de m’être libérée de celles que je vous ai citées plus haut.

Et vous, de quelles peurs aimeriez-vous vous libérer aujourd’hui ? (peur d’écrire, de vous exprimer, de ne pas être assez créatif, du temps qui passe trop vite, de ne pas aller au bout des choses ? )

Dites-moi tout dans les commentaires.

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A très bientôt !

27 réflexions sur “ 6 peurs que mon art journal m’a permis de surmonter ”

  1. Bonjour Jiji le art journal me plait de plus en plus . Comme vous avez parlé de faire un nouvelle atelier en 2018 je vais attendre .Je me débrouille déjà par vos tuto mais cela serait un plaisir de suivre votre savoir . Merci beaucoup pour le groupe c’est très enrichissant de voir ce que les autres peuvent rendre avec un même thème. merci bisous

    1. Merci Nelly ! C’est vrai que c’est très inspirant de voir toutes les pages postées chaque semaine pour le challenge, cela donne plein d’idees. Bises et à bientôt !

  2. Très bon article! Bonne analyse des choses… Je le garde pour le lire encore plus attentivement!
    Belle journée créative <3

  3. 6 peurs que je connais bien, j’ai éliminé le regard des autres ou plutôt je ne le cherche plus. J’accepte de me tromper …et de ne pas effacer , d’aller au bout quelque soit le résultat , le plaisir reste privé et c’est çà l’essentiel. Je trouve toujours que les autres ont du style et je les envie, mais je ne veux pas les copier.
    Et j’aime regarder mon journal, il marquera des tranches de vie, de ma vie sans la raconter… cette simplicité m’a longtemps manqué et je la cultive…et pourquoi pas? 🙂

    1. Quelle belle vision des choses ! Mon artjournal me fait le même effet quand je le feuillette. Il est plein de souvenirs et comme tu le dis si bien il marque des tranches de vie

  4. Merci pour ton article !!!!!! moi j’aimerais lâché prise sur la peur du jugement et non dans le créatif !!!!! une question quand tu laisses ton journal en vu tu as tes mediums à côté ou pour laissé venir les idées ?
    Merci
    Nathalie
    bisousssss

    1. J’ai réalisé avec le temps que tout est lié. Lâcher prise niveau créatif permet aussi d’apprendre à lâcher prise dans la vraie vie. Le Zentangle aussi m’a beaucoup aidée à ce niveau.
      Pour répondre à ta question oui, je garde toujours un peu de matériel dans une trousse pas loin de mon artjournal (avec des feutres couvrants, crayons, pastels, pinceau à réserve d’eau…) comme ça j’ai de quoi faire des ajustements si besoin.
      Bisous Nathalie

  5. CC Jiji… MERCI pour ce nouveau partage !!!
    Un article à lire et à relire 🙂
    Douce soirée, BISOUS

  6. C’est un très beau partage, ton article… Merci infiniment. Des peurs, nous en avons tous en effet. A nous d’en faire une force ! Ce que j’aime le plus en art journalling (c’était une de mes peurs au début), c’est qu’une page réalisée avec plaisir ne ressemble jamais ou presque à ce qui avait été imaginé… Et cette différence entre réflexion et réalisation vient, en fait, de moi, de ce que je suis au moment où je réalise cette page… Demain, elle aurait été autre… Merci pour ce partage !

    1. Merci Vero ! C’est tellement bien dit ! Oui chacune de nos pages reflète ce que nous sommes à ce moment précis, c’est pour ça aussi que c’est magique de feuilleter son artjournal de temps en temps

  7. Merci pour ces confidences … c’est tellement rassurant de voir que ce n’est simple pour personne ! Je n’ai pas encore réussi à démarrer la 1ère page de mon art journal .. 🙁 …. je papillonne, je regarde trop internet, tellement de sources d’inspiration … je crois que je m’y perds ! Mais je suis convaincue des bienfaits de l’art journal et notamment grâce à vous ! Merci

    1. Merci Dolorès, oui toutes ces heures sur internet, je connais bien aussi. Le plus dur ce n’est pas de faire une page, mais plutôt de s’y mettre. Ça reste dur aussi pour moi chaque semaine, mais à force de combattre cette peur et s’y mettre quand même au fil du temps il y a une espèce de routine qui s’installe

  8. Je crois que la peur de mal faire est la plus présente chez moi et je me rends compte qu’elle me pousse finalement à ne pas faire. J’ai ce côté perfectionniste qui me bloque, qui m’empêche d’être moi-même et d’accepter l’imparfait. Je n’ose pas écrire vite et mal dans mon bullet journal parce que je trouve que ça fait négligé, je n’ose pas y inclure ce côté créatif parce que je ne me trouve pas douée pour ça, je n’ose rien et finalement je prends conscience que je ne prends même plus de plaisir à le remplir. Je te remercie pour ton article qui m’ouvre un peu plus les yeux sur les peurs dont il faut que je me libère.

    1. Aaaah le bullet journal ! Très intéressant ce que tu dis. J’en ai tenu un pendant plusieurs mois, mais j’avoue que je n’y ai jamais fait de superbes pages créatives ou de belles décos avec de belles typos manuscrites comme on voit souvent sur internet. C’est un support qui s’est avéré trop perfectionniste pour moi (niveau créativité). J’ecris très mal à la base et mon bullet journal avait vraiment cette fonction de base qui est de planifier mon quotidien et atteindre mes objectifs, ce qui m’a beaucoup aidée à ce niveau. J’ai arrêté d’en tenir un parce que même sans y faire de jolies decos c’etait très chronophage. J’ai simplifié à nouveau (avec un agenda tout prêt qui correspond à mes besoins) pour pouvoir dégager plus de temps pour dessiner, peindre, m’exprimer sur d’autres supports.

  9. Merci Jiji pour cet article !
    Je me reconnais sur plusieurs points/peurs cités.
    Du coup, je me dis que je n’ai pas d’excuses à me donner … mais juste oser faire du mieux que je peux, le temps que je peux et ne plus focaliser autant sur ce que je voudrais faire et enfin laisser faire les choqes d’elles mêmes.
    Merci Jiji ❤

    1. Merci Christelle, en effet il vaut mieux suivre ses envies au final plutôt que de chercher sans arrêt la perfection. A très vite 🙂

  10. Oh là là comme c’est marrant car je retrouve plein de choses que je ou j’ai ressenti ! Mon évolution ressemble à la tienne 😉 Le côté timide, la difficulté de parler de soi, de montrer… ça me parle ! Moi aussi l’artjournal, le zentangle, le dessin sans gomme m’ont aidée à me libérer de tous ces jugements négatifs, de l’exigence que j’avais envers moi. Je n’arrive pas encore à dessiner complètement en public, ça dépend des jours. Mais en revanche, j’ai animé samedi un atelier pour la première fois et j’étais très à l’aise ! Je n’en revenais pas ! Moi qui suis une timide… J’évolue et je comprends ton enchantement et la liberté acquise dans la vie de tous les jours. Je fais des démarches et des projets que je n’aurai jamais osé avant ! Merci pour cet article très bien écrit en plus ! Bisous

    1. Oh c’est génial Masyl, j’aurais aimé assister à cet atelier ! Oui, comme toi j’ai réalisé que grâce à ces pratiques artistiques, même en étant introvertie on peut très bien communiquer avec les autres, du moment qu’on le fait à notre manière sur les sujets qui nous passionnent 🙂

  11. Superbe article qui montre bien que rien n’est facile, même pas se faire plaisir puisqu’on est toujours sous le regard de l’autre….mais faire de l’art journal quotidiennement fait tellement du bien à soi même que pour moi je ne pourrai plus m’en passer et je te remercie beaucoup Jijihook pour l’élan que tu nous donnes chaque semaine avec ton challenge. Gros bisous

    1. Merci Dilon ! Oui souvent se faire plaisir est difficile, surtout quand il s’agit de créer quelque chose de nouveau. Je suis heureuse que l’art journal te fasse autant de bien et c’est un vrai plaisir de voir tes pages chaque semaine dans le groupe du challenge 😉 gros bisous

  12. Très juste article Jiji =^.^= Tu fais bien de faire ces confidences, parce que tu les fais très humainement, avec simplicité, et on est très nombreuses à pouvoir se reconnaître dans tes mots, et grâce à toi se sentir moins seules <3
    Pour ma part, je connais toutes ces peurs, et même mes années de pratique ne me permettent pas encore de dépasser la plupart, voire certaines s'ancrent plus encore, et je montre de moins en moins ce que je fais… C'est aussi la vie !
    Des bisous !

    1. Merci Sabine <3 Comme je comprends bien ce que tu décris ! Aujourd'hui j'ai l'impression d'avoir totalement dépassé certaines peurs mais je sais aussi qu'elles peuvent resurgir à tout moment, c'est pourquoi je trouve important de communiquer là-dessus et d'essayer de trouver des moyens de dépasser tout ça pour être de mieux en mieux dans nos vies 😉
      Gros bisous

  13. Je trouve tes articles vraiment intéressants! Je ne connaissais absolument pas le concept d’art journaling, et en lisant ce qui a pu te faire peur, je me dis que cet idée serait une excellente solution pour ces peurs que j’ai aussi et pour lesquelles j’ai en effet « toujours peur de rater ou de mal faire ». J’ai déjà essayé plusieurs fois de lâcher prise mais j’ai l’impression de toujours trop m’en demander, d’être trop exigeante avec moi même… Je pense que je vais rapidement m’y mettre afin de me recentrer sur ce que j’aime vraiment dans le dessin, et vraiment me metgre a progresser de façon libre! Merci pour ces articles et pour m’avoir fait découvrir quelque chose d’inconnu!

    1. Merci Elodie pour ce commentaire, heureuse de savoir que mes articles t’ont apporté des informations utiles et surtout l’envie de faire tout simplement, sans prise de tête. C’est vraiment ce qui m’a séduite quand j’ai découvert l’artjournaling, ça soulage beaucoup de relâcher la pression.
      Très belle journée,

  14. Merci pour cet article. C’est tombé pile quand il le fallait pour moi. Vous m’avez donné l’envi de faire un art journal. Pour retrouver un côté artistique en moi que j’ai “perdu” et pour vaincre les peurs citées mais aussi je l’espère, me mettre en relation avec des émotions enfuies. Grand merci!

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